Paroles de Square Morrison
Elle reprend dans mes veinesUn peu d'encre vermeille
"Mais à quoi cela sert?" soupire la lune en vain
L'art ne change pas le monde, Major Tom, je le crains
"-Allez tout le monde en place !
-Attendez... J'suis pas prête !
-Dépêche-toi !
-Attention le rideau, le rideau !"
Alors qu'un moine-abricot dansait
Sur un poème de Claude Gauvreau
La scène entremetteuse la pousse dans mes bras
"Je suis l'amour impossible" chuchote-t-elle contre moi
"Tout cela est-il arrivé?" sourit la lune
"Ou la plume fabule-t-elle encore une fois ?"
Cette nuit est vouée à s'éteindre à jamais
Alors dans ma lampe-carrosse, ne voulez-vous pas voler ?
Car la plume capitaine, ma capitaine
Grimpe sur des tables de vers, fait des fées épistolaires
Des amis à la Klapisch, et crie comme un crochet
Que l'Amour est désordre et seul le désordre crée !
Mais si tout : Sombre ! "Grandit-on quand le rideau tombe?"
(Si tout n'est qu'imaginaire à Laputa)
Oh si la lune se brise
N'oublie pas quelques friandises
Au cas où je n'irais pas
Dans la rue avec Annie
Nus devant les flics et les gaz lacrymogènes
Dansant, s'embrassant, s'aimant sous l'eau glaciale
D'une union lunatique éternelle
Devant les baies vitrées
La fourrure aux pieds telle Louise Lane
Sous le regard vide d'une foule de clients modèles
Qui croient vraiment peut-être que la liberté
Sera mise en vente en promo à Noël
Mais si tout : Sombre !
S'éraille ma voix
Et si tout s'arrêtait là
Pourquoi pas ?
Si tout n'st qu'imaginaire
Que de jardins à cours nous jouons à l'Amour
(A laputa)
Si la lune se brise
N'oublie pas quelques friandises
Au cas où je n'irais pas
Sur le pont Françoise Sagan
Une borne Tic-Tac m'interpelle tristement
Quelle tête aurez-vous à 70 ans ?
Faites des essayez - Résultat dans l'instant
Je jette une cigarette
En souliers de satin devant l'ogre du temps
Et d'un rire de cathédrale sur mon éléphant volant
J'entre mon pseudo : Peter Pan
(Merci à Alison pour cettes paroles)
-Dépêche-toi !
-Attention le rideau, le rideau !"
Alors qu'un moine-abricot dansait
Sur un poème de Claude Gauvreau
La scène entremetteuse la pousse dans mes bras
"Je suis l'amour impossible" chuchote-t-elle contre moi
"Tout cela est-il arrivé?" sourit la lune
"Ou la plume fabule-t-elle encore une fois ?"
Cette nuit est vouée à s'éteindre à jamais
Alors dans ma lampe-carrosse, ne voulez-vous pas voler ?
Car la plume capitaine, ma capitaine
Grimpe sur des tables de vers, fait des fées épistolaires
Des amis à la Klapisch, et crie comme un crochet
Que l'Amour est désordre et seul le désordre crée !
Mais si tout : Sombre ! "Grandit-on quand le rideau tombe?"
(Si tout n'est qu'imaginaire à Laputa)
Oh si la lune se brise
N'oublie pas quelques friandises
Au cas où je n'irais pas
Dans la rue avec Annie
Nus devant les flics et les gaz lacrymogènes
Dansant, s'embrassant, s'aimant sous l'eau glaciale
D'une union lunatique éternelle
Devant les baies vitrées
La fourrure aux pieds telle Louise Lane
Sous le regard vide d'une foule de clients modèles
Qui croient vraiment peut-être que la liberté
Sera mise en vente en promo à Noël
Mais si tout : Sombre !
S'éraille ma voix
Et si tout s'arrêtait là
Pourquoi pas ?
Si tout n'st qu'imaginaire
Que de jardins à cours nous jouons à l'Amour
(A laputa)
Si la lune se brise
N'oublie pas quelques friandises
Au cas où je n'irais pas
Sur le pont Françoise Sagan
Une borne Tic-Tac m'interpelle tristement
Quelle tête aurez-vous à 70 ans ?
Faites des essayez - Résultat dans l'instant
Je jette une cigarette
En souliers de satin devant l'ogre du temps
Et d'un rire de cathédrale sur mon éléphant volant
J'entre mon pseudo : Peter Pan
(Merci à Alison pour cettes paroles)
Paroles powered by LyricFind