Paroles de Fort De France
Je passe du temps dans les nuagesA m´inventer des voyages
A m´en aller sans bagages
Aux antipodes au bout du monde
On me dit un peu rêveur
Ou nonchalant selon l´heure
Mais lorsque je vagabonde
J'me sent léger comme la vapeur
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
De ces feuilles de tabac roulées
Par des mains douces et appliquées
S´élèvent senteurs et fumées
Vers des lieux privilégiés
Qui a droit à ces saveurs
Dans quel paradis, quel ailleurs
Je veux les noms des pique-assiettes,
L´identité des profiteurs
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange J´aimerais qu´elles s´envolent un jour
Vers celles qui m´avaient fait croire
Que j´étais l'homme de leur vie
Le plus fidèle, le plus gentil
Qu´elles me trouvaient vachement bien
et nanani et nananin
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
Et quand se ferment les yeux
Au moment de la révérence
Certains disent qu´ils vont vers Dieu
Quand d´autres parlent d´invraisemblance
Que faire de ces quelques grammes
Qui s´en vont, je ne sais où
Puis-je parler du poids de l´âme
Quitte à passer pour un fou
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
(Merci à CALYPSO97200 pour cettes paroles)
J'me sent léger comme la vapeur
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
De ces feuilles de tabac roulées
Par des mains douces et appliquées
S´élèvent senteurs et fumées
Vers des lieux privilégiés
Qui a droit à ces saveurs
Dans quel paradis, quel ailleurs
Je veux les noms des pique-assiettes,
L´identité des profiteurs
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange J´aimerais qu´elles s´envolent un jour
Vers celles qui m´avaient fait croire
Que j´étais l'homme de leur vie
Le plus fidèle, le plus gentil
Qu´elles me trouvaient vachement bien
et nanani et nananin
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
Et quand se ferment les yeux
Au moment de la révérence
Certains disent qu´ils vont vers Dieu
Quand d´autres parlent d´invraisemblance
Que faire de ces quelques grammes
Qui s´en vont, je ne sais où
Puis-je parler du poids de l´âme
Quitte à passer pour un fou
Un peu comme ces fûts de rhum
D´où s´échappent des arômes
Qui laissent un vide bien étrange
Que l´on appelle la part des anges
(Merci à CALYPSO97200 pour cettes paroles)
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