Paroles de Le Dormeur Du Rail
Il est 6 heures, dans la gare.Y’en a qui pleurent, y’en a qui se marrent,
Y’en a qui se couchent, d’autres qui se réveillent,
Y’en a qui se quittent pour se dire « je t’aime ».
Et y’a cet étranger, sans patrie,
Sans racine et sans paradis,
Qui part de train de jour, en train de nuit,
Chercher l’amour, chercher sa vie.
C’était un artiste, sous des drapeaux de militaire,
Larguer des larmes tristes, seront jamais de bonne guère,
Il est parti, déserteur les pochez vides et les yeux pleins,
Des larmes qui pensent qu’ailleurs la liberté nous tend la main,
Il a cherché l’utopiste de bon cœur, la bonne terre,
A explorer toutes les pistes, les sentiers, tous les mystères.
Il est 6 heures, dans la gare,
Y’en a qui pleurent, y’en a qui se marrent
Y’en a qui se couchent, d’autres qui se réveillent,
Et y’a cet étranger, sans patrie,
Sans racine et sans paradis,
Qui part de train de jour, en train de nuit,
Chercher l’amour, chercher sa vie.
D’Athènes à Berlin, il a profité sans sommeil,
Et de Brest à Pékin, il a couché tous les soleils.
Il est 6 heures, dans la gare,
Y’en a qui pleurent, y’en a qui se marrent
Y’en a qui se couchent, d’autres qui se réveillent,
Et y’a cet étranger, sans patrie,
Sans racine et sans paradis,
Qui part de train de jour, en train de nuit,
Chercher l’amour, chercher sa vie.
(Merci à Héloïse pour cettes paroles)
Chercher l’amour, chercher sa vie.
C’était un artiste, sous des drapeaux de militaire,
Larguer des larmes tristes, seront jamais de bonne guère,
Il est parti, déserteur les pochez vides et les yeux pleins,
Des larmes qui pensent qu’ailleurs la liberté nous tend la main,
Il a cherché l’utopiste de bon cœur, la bonne terre,
A explorer toutes les pistes, les sentiers, tous les mystères.
Il est 6 heures, dans la gare,
Y’en a qui pleurent, y’en a qui se marrent
Y’en a qui se couchent, d’autres qui se réveillent,
Et y’a cet étranger, sans patrie,
Sans racine et sans paradis,
Qui part de train de jour, en train de nuit,
Chercher l’amour, chercher sa vie.
D’Athènes à Berlin, il a profité sans sommeil,
Et de Brest à Pékin, il a couché tous les soleils.
Il est 6 heures, dans la gare,
Y’en a qui pleurent, y’en a qui se marrent
Y’en a qui se couchent, d’autres qui se réveillent,
Et y’a cet étranger, sans patrie,
Sans racine et sans paradis,
Qui part de train de jour, en train de nuit,
Chercher l’amour, chercher sa vie.
(Merci à Héloïse pour cettes paroles)
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