Paroles de Mots Noirs
Comme le temps passe, il faudrait recommencerTes conseils, tes ballades, tout c’que tu peux penser
Tes mots noirs de connasse, je préfère les embrasser
Je préserve mes silences étouffés
Tu me disais mauvaise élève
Moi je voyais bouger tes lèvres
J’avais déjà rangé ma chaise
Tu faisais débat, j’écoutais pas
Sur la fenêtre, coulent mes rêves
Tu parles d’avenir un jour de grève
T’imposais que mon cœur se taise
Rester plantée là, je pouvais pas
Comme le temps passe, il faudrait recommencer
Tes conseils, tes ballades, tout c’que tu peux penser
Tes mots noirs de connasse, je préfère les embrasser
Je préserve mes silences étouffés
Comment naviguer en galère ?
Tu parles d’horaires, maigre salaire
Le compte, le cœur à découvert
Vivre sous contrat, moi, je sais pas
Moi, je m’étais promis la Lune
De chanter des chansons de lutte
Tes remontrances qui m’insultent Tes mots noirs de connasse, je préfère les embrasser
Je préserve mes silences étouffés
Ça y est, j’éteins la lumière
Tu veux une histoire, une dernière
Regarde sous ton lit pas derrière
Tu sais les vrais monstres, c’est pas ceux-là
Les souvenirs qui se bousculent
Autant de leçons ridicules
Tombée de ma chaise à bascule
Et si elles s’envolent, m’en voulez pas
Comme le temps passe
Il faudrait recommencer
Mes conseils, mes ballades
Et tout c’que j’ai pu penser
Mes mots noirs de Connasse
Qui les aura embrasser ?
J’avais déjà rangé ma chaise
Tu faisais débat, j’écoutais pas
Sur la fenêtre, coulent mes rêves
Tu parles d’avenir un jour de grève
T’imposais que mon cœur se taise
Rester plantée là, je pouvais pas
Comme le temps passe, il faudrait recommencer
Tes conseils, tes ballades, tout c’que tu peux penser
Tes mots noirs de connasse, je préfère les embrasser
Je préserve mes silences étouffés
Comment naviguer en galère ?
Tu parles d’horaires, maigre salaire
Le compte, le cœur à découvert
Vivre sous contrat, moi, je sais pas
Moi, je m’étais promis la Lune
De chanter des chansons de lutte
Tes remontrances qui m’insultent Tes mots noirs de connasse, je préfère les embrasser
Je préserve mes silences étouffés
Ça y est, j’éteins la lumière
Tu veux une histoire, une dernière
Regarde sous ton lit pas derrière
Tu sais les vrais monstres, c’est pas ceux-là
Les souvenirs qui se bousculent
Autant de leçons ridicules
Tombée de ma chaise à bascule
Et si elles s’envolent, m’en voulez pas
Comme le temps passe
Il faudrait recommencer
Mes conseils, mes ballades
Et tout c’que j’ai pu penser
Mes mots noirs de Connasse
Qui les aura embrasser ?