Paroles de Ripro 3
Toujours le mêmelacrim
2.0.13
là j'en ai marre d'ici, faut qu'je m'barre au soleil
on va boomer, des k.o., c'est le marchand d'sommeil
j'y ai fait ma confiance, il n'faut pas que tout se gâtea
j'serais fidèle même si j'ai vu le bar à pute à schuttgart
la guerre depuis l'début, c'est ça qu'j'aurais dû faire
des fidèles rafales, pour moi c'est ça avoir du flair
oui, je suis paranoÏaque, sans ça j'aurais plus d'tête
une balle entre les yeux, j'laisse ta cervelle sur l'appuie-tête
tu fais l'beau avec des putes, j'les baise toutes à la fois
c'est véridique c'quelles t'ont dit, qu'avec lacrim ç'na rien à voir
alors tu d'viens jaloux, tu veux t'en prendre au maître
ma musique s'répend comme un virus, on y trouve pas l'remède
une carrière d'enculé, qu'ils s'débarrent je n'ai pas l'time
moi j'suis pas le boss de panam mais j'suis l'boss de bagdad
la rue j'ai fais mes preuves, dans le rap j'en enterre plein
trafiquer ma voiture pour que j'm'éclate sur le terre-plein
on a pas les mêmes couilles, même vécu, pas la même montre
j'cotoie des très gros trafiquants mais j'dirais pas leur nom
non c'n'est pas le même monde, dans les tass ou les gros flingues
on dit pardonnez-moi j'ai peur, je sais mais j'ai trop faim
je dis la stricte vérité, même si elle plaît pas des rappeurs font les voyous, j'suis voyou j'suis pas rappeur
la vie c'est les échecs, les stratégies c'est l'abord
ils détestent les bondins tu connais l'chef, va l'fumer d'abord
big up, neur off, minguettes, boissières, sorbets, jacques cartier
c'est la jungle depuis trois siècles
balzac, lorion, la castet et bablo
capuche et lunettes de soleil même s'il fait pas beau
bagatelle, busserine, borny, la boca, villeneuve
7/7 et oui la vida loca
ici l'ami y'a pas d'seins, investis dans une kalash
tu sais la vie c'est pas simple, la paillade et bassens
20ème, 19ème, 13ème, 18,
tellement d'minutes dehors, les transacs se passent dans une p'tite suite
oui la rue je la vie, elle me parle et je traduis
ta mère la reine des putes si tu parles mal de moi gratuit
les mecs comme nous tu sais, dépassent rarement les 30 ans
est-ce que vous m'entendez ? bientôt j'vous laisse il est grand temps
combien étions-nous voulant finir dans un châlet ?
fiston, papa va sortir mais il ne reviendra jamais
a l'heure où j's'rais sous terre, souviens-toi d'ces paroles
jetez-vous n'est était, aussi pur que la daronne
là, j'prépare un album, avec mes couilles sur la table
j'vous mens pas si j'avais bu, j'aurais construit adam
ok lacrim, eh!
(Merci à Joffrey pour cettes paroles)
j'serais fidèle même si j'ai vu le bar à pute à schuttgart
la guerre depuis l'début, c'est ça qu'j'aurais dû faire
des fidèles rafales, pour moi c'est ça avoir du flair
oui, je suis paranoÏaque, sans ça j'aurais plus d'tête
une balle entre les yeux, j'laisse ta cervelle sur l'appuie-tête
tu fais l'beau avec des putes, j'les baise toutes à la fois
c'est véridique c'quelles t'ont dit, qu'avec lacrim ç'na rien à voir
alors tu d'viens jaloux, tu veux t'en prendre au maître
ma musique s'répend comme un virus, on y trouve pas l'remède
une carrière d'enculé, qu'ils s'débarrent je n'ai pas l'time
moi j'suis pas le boss de panam mais j'suis l'boss de bagdad
la rue j'ai fais mes preuves, dans le rap j'en enterre plein
trafiquer ma voiture pour que j'm'éclate sur le terre-plein
on a pas les mêmes couilles, même vécu, pas la même montre
j'cotoie des très gros trafiquants mais j'dirais pas leur nom
non c'n'est pas le même monde, dans les tass ou les gros flingues
on dit pardonnez-moi j'ai peur, je sais mais j'ai trop faim
je dis la stricte vérité, même si elle plaît pas des rappeurs font les voyous, j'suis voyou j'suis pas rappeur
la vie c'est les échecs, les stratégies c'est l'abord
ils détestent les bondins tu connais l'chef, va l'fumer d'abord
big up, neur off, minguettes, boissières, sorbets, jacques cartier
c'est la jungle depuis trois siècles
balzac, lorion, la castet et bablo
capuche et lunettes de soleil même s'il fait pas beau
bagatelle, busserine, borny, la boca, villeneuve
7/7 et oui la vida loca
ici l'ami y'a pas d'seins, investis dans une kalash
tu sais la vie c'est pas simple, la paillade et bassens
20ème, 19ème, 13ème, 18,
tellement d'minutes dehors, les transacs se passent dans une p'tite suite
oui la rue je la vie, elle me parle et je traduis
ta mère la reine des putes si tu parles mal de moi gratuit
les mecs comme nous tu sais, dépassent rarement les 30 ans
est-ce que vous m'entendez ? bientôt j'vous laisse il est grand temps
combien étions-nous voulant finir dans un châlet ?
fiston, papa va sortir mais il ne reviendra jamais
a l'heure où j's'rais sous terre, souviens-toi d'ces paroles
jetez-vous n'est était, aussi pur que la daronne
là, j'prépare un album, avec mes couilles sur la table
j'vous mens pas si j'avais bu, j'aurais construit adam
ok lacrim, eh!
(Merci à Joffrey pour cettes paroles)
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